« On regrettera plus tard » d’Agnès Ledig
« On regrettera plus tard » d’Agnès Ledig
Je vous le dis tout de suite, c’est un véritable coup de coeur ! J’ai récupéré ce livre à la bibliothèque mercredi – je l’avais réservé après qu’il me soit passé dans les mains lors d’un emprunt. Je l’ai dévoré Je l’ai commencé mercredi en rentrant – j’ai volé un chapitre avant le repas, pour le plaisir et j’ai tout de suite accroché. Et je suis vite fait aller me coucher après pour avaler une centaine de pages. Jeudi soir, je n’ai pas été raisonnable et j’en ai lu plutôt 150. Et je viens de le finir à la sieste (on était vendredi donc, le temps que je finisse l’article). Le médecin m’a dit de me reposer, je le fais 😉 (voilà, vous savez tout de ma vie !).
L’histoire :
« Cela fait bientôt sept ans qu’Eric et sa petite Anna Nina sillonnent les routes de France. Solitude choisie. Jusqu’à ce soir de juin, où le vent et la pluie les obligent à frapper à la porte de Valentine. Un orage peut-il à lui seul détourner d’un destin que l’on croyait tout tracé ? Avec la vitalité, l’émotion et la générosité qui ont fait l’immense succès de Juste avant le bonheur et Pars avec lui, Agnès Ledig explore les chemins imprévisibles de l’existence et du coeur. Pour nous dire que le désir et la vie sont plus forts que la peur et les blessures du passé. »
Il y a de tout dans ce livre : de l’amitié, de l’amour, de la tristesse, de la mort, de la bienveillance, de la Guerre, de la Paix et même du sexe.
Je me suis très vite attachée aux personnages : les adultes avec leur caractère qui cache leur faiblesse, Anna-Nina dans son enfance innocente mais qui comprend tellement de choses finalement. En particulier, je me suis identifiée à Valentine, qui a un fort caractère (pas comme moi, hein? 😉 ) mais tellement d’amour et de bienveillance à donner, et puis hyper-active pour éviter de penser (c’est beaucoup moi ça 😉 ).
Ca se lit tout seul. Au départ, il y a 2 histoires qui s’entrecoupent dans la narration, mais pas dans le temps : l’une se passe en 1944 et l’autre en 2010.
En plus, comme dans le livre d’Anna Tosca, il y a un Gaël dans le livre. Encore quelqu’un de bien 😉 un instit, costaud mais bienveillant avec un coeur de guimauve. Très attachant lui aussi !
J’avais déjà lu et apprécié « Juste avant le bonheur » d’Agnès Ledig – je pensais en avoir lu d’autres d’elle mais non, c’était de Laure Manel ( « La délicatesse du homard » et « La mélancolie du kangourou »), dont le style est approchant.
Vous aimez Agnès Ledig ? Vous avez lu celui-là ?
Bonne journée (annoncée pluvieuse ici mais égoïstement, vu ce que j’ai prévu, ça ne me gêne pas. S’il peut juste éviter de pleuvoir pendant les récrés 😉 ).
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C’est chouette, de prendre soin de toi en lisant des choses douces… (ce que n’est pas le murakami je le crains) J’avais lu, sur tes conseils je crois, « juste avant le bonheur », très joli.
Oui « juste avant le bonheur » c’est dans le même style.
Effectivement pour le Murakami, ça me semble plus violent !
Oh oui, je connais, et j’ai dévoré…Il y a même une suite tu sais à ce livre…C’est « de tes nouvelles », avec les mêmes personnages attachants…
Quant à laure Manel, j’ai lu les deux que tu as cités et même son tout dernier « L’ivresse des libellules ». J’en parle sur mon blog…
Bon we, sophie
Merci pour l’info ! Et oui je sais pour le nouveau Manel, j’attends qu’il soit à la bibliothèque 😉
Je vais jeter un œil que ton blog !